top of page

De la peinture

que c'est la peine

 

« De la littérature que c’est la peine est un titre de Larbaud, que je détourne ici pour désigner une peinture spontanée, populaire, qu’on trouve sur les murs de toutes les villes ou presque. Elle utilise les accidents du support, admet d’être rincée par la pluie, effacée par le temps ou défigurée par des iconoclastes qui s’ignorent. Elle ne se confond pas avec les graffittis, elle échappe aux prétentions du Street art, et ne finit jamais dans les galeries ».

bottom of page